« Gwen L’Ingénue » : Une Véritable Petite Salope. Partie 3/3


En revenant de ce séminaire, je voulais me faire pardonner. Je venais de tromper mon homme, j’avais hâte de rentrer afin de lui faire l’amour et d’oublier ce Nicolas à jamais. Malheureusement, ce vendredi soir nous étions invités à un anniversaire d’un des cousins de Sébastien. Lorsque je suis rentrée à la maison vers 18h30, mon compagnon s’impatientait, il était déjà prêt mais il fallait que je me prépare et surtout prendre une douche pour laver toutes ces horreurs que je venais de vivre la veille.

Une petite heure plus tard, j’étais enfin prête avec un léger maquillage, je portais une petite robe noire, des bas couleur chair et un ensemble noir : soutien-gorge, string en dentelle douce et confortable. Lorsque Sébastien me vit sortir de la chambre, il avait une envie folle de me prendre immédiatement :
— Moi aussi mon chéri, mais il était déjà tard. Lui dis-je.
— Tu ne perds rien pour attendre, je vais te faire jouir comme jamais. Me promit-il.

Pendant toute la soirée, Sébastien était parvenu à m’exciter pendant toutes les danses, alternant collé serré et les traditionnels slows sensuels, pendant lesquels, il en profitait pour caresser mes fesses et quelques fois me toucher légèrement les seins dont il était fou. Après une série très langoureuse, je ressentis contre mon ventre toute sa fougue, il m’attira dans un endroit discret à l’abris des regards et m’embrassa avec passion :
— Je n’en peux plus d’attendre, j’ai envie de toi.
— Nous n’allons pas faire ça ici quand même ? Lui répondis-je retrouvant mon naturel pudique.

J’étais à deux doigts de lui céder, sa bouche s’écrasa sur la mienne, ses mains malaxaient mes fesses, son sexe était en totale érection et se frottait contre mon pubis. Cela avait fini par me faire mouiller terriblement, mais à ce moment-là quelques s arrivaient. Ne pouvant le faire ici, nous avions profité du départ de certains cousins pour nous éclipser discrètement à notre tour.



Dans la voiture, il aimait toujours me caresser les jambes mais je refusais habituellement qu’il aille trop haut. Cette fois-ci, lorsqu’il me demanda, de retirer mon string, je l’enlevai immédiatement, à sa grande stupéfaction. Je m’étais rapprochée au maximum en écartant les cuisses afin que ses doigts puissent atteindre leur but. La boite automatique avait du bon, de deux doigts enfoncés dans ma petite chatte, l’autre titillant mon clitoris, je lui étais totalement offerte. Il me fit jouir après seulement quelques kilomètres et une deuxième fois juste avant d’arriver.

Nous étions si pressés de faire l’amour, que dès notre sortie de la voiture, nos bouches restèrent soudées jusqu’à l’ascenseur où il me dit : « J’ai envie de te bouffer le cul. » Tellement excitée, je répondis : « Pas cap. » Il s’agenouilla devant moi passa la tête sous ma robe et avec sa langue, il me transporta, je voulais crier mon bonheur, mais je ne le pouvais pas. Malheureusement, les portes s’ouvrirent et nous avions courus jusqu’à l’appartement.

Il avait enlevé ma robe pour m’admirer, j’étais nue, je ne portais que mon joli soutien-gorge super sexy et mes bas qu’il désirait que je garde. Je pris plusieurs orgasmes sous ses doigts et sa langue qu’il savait utiliser pour mon plus grand plaisir. Lorsqu’il essaya de m’enfoncer un doigt dans l’anus, il s’étonna de ma réaction, je n’avais rien dit lorsque sa première phalange était fichée à l’intérieur. Il était fier, de parvenir à me changer, je le voyais dans son sourire et pour tester ma volonté de lui céder, il me demanda :
— Tu peux me sucer mon amour ? Ne te sens pas obligée ! Je ne voudrais pas te forcer.

Je n’avais pas répondu, je voyais qu’il prenait des gants, il appréhendait ma réaction. Quelle fut la surprise pour lui, lorsque j’avais entièrement son gland entre les lèvres. Jamais je n’étais parvenue à lui faire une fellation. Je m’étais appliquée, je voulais que mon homme puisse prendre un réel plaisir dans ma bouche.
Quelques minutes plus tard, ses gémissements devenaient de plus en plus forts, il me fit ralentir, cherchant ses mots :
— Attention Gwen ! Je vais éjaculer. M’avertit-il.

Il connaissait mon aversion au sperme, il retira son sexe de ma bouche, passa derrière-moi, je devinai qu’il me testait encore. Je posai mes mains au sol et lui offrit ma croupe. Il me prenait en levrette pour la première fois pour son plus grand bonheur. Lorsque je ressentis la douce chaleur de son sperme dans mes entrailles, je criai mon bonheur, j’avais atteint un nouvel orgasme. Il fut encore surpris de mon comportement et me demanda :
— Mon amour ! Que se passe-t-il ? Ça t’a plus ?

Afin de ne pas trop dévoiler mes envies nouvelles, je répondis en mentant :
— Non mon chéri ! Je voulais te faire plaisir pour te récompenser de ta patience.
— Je t’aime Gwen, tu es formidable.

Nous étions allés nous coucher, mais nous n’avons pas dormi avant l’aube. Lorsqu’il se vida la dernière fois dans ma petite chatte, il était épuisé et moi comblée, je venais de passer une nuit formidable qui me fit oublier pour un temps cette nuit horrible qui restait ancrée dans mon cerveau :
— Je t’aime mon amour. Me dit-il à l’oreille. Tout va bien mon amour ? Poursuivit-il.
— Pourquoi dis-tu cela mon chéri ? Moi aussi je t’aime.

Pendant les six mois suivants j’avais changé totalement, je ne lui refusais presque plus rien, il avait même tenté de me sodomiser sans que je refuse, mais lorsqu’il m’avait sentie me contracté sous la douleur, il n’avait pas insisté. Je n’avalais pas encore son sperme, mais je le laissais volontiers m’asperger les seins après lui avoir fait une fellation dont j’avais pris goût à faire. Aujourd’hui, il me claque même les fesses lorsqu’il me prend en levrette, cela augmente mon excitation. D’une fois par semaine, je ne lui refusais plus systématiquement, nous prenions notre plaisir dans n’importe quelle pièce et à n’importe quel moment, j’étais devenue une femme aimante.


Pourtant ce mercredi matin-là au travail, je reçois un SMS d’un numéro inconnu. Lorsque j’ouvre ce message, une photo apparait : Je suis la femme qui suce une verge en regardant son amant dans les yeux. Le texte qui accompagnait ce cliché disait : « Rendez-vous ce soir 18 heures au bar « Athéna ». Nicolas était, la seule personne qui pouvait m’avoir envoyé ce texto, mais comment avait-il eut mon N° ? Je l’avais changé dès mon retour de séminaire, j’avais une peur bleue. J’avais mis quatre mois pour oublier cette nuit-là et maintenant tout ceci allait recommencer. Je ne pouvais pas le croire, ce fut un calvaire pour moi toute la journée, je ne voyais aucune issue possible.

Dans un premier temps, je ne voulais pas aller à ce rendez-vous et tout avouer à Sébastien mais je savais qu’il n’aurait pas apprécié et qu’il était plus que probable que je le perde à jamais. Je voulais répondre au message de l’expéditeur mais là encore que lui aurais-je dit ? J’étais piégée et devinais que je devais une nouvelle fois subir la perversité de mon amant d’un jour. Sans échappatoire envisageable, je m’étais rendue au bar « Athéna ». Ce lieu n’était pas un bistrot ordinaire, c’était un genre de club très intime où la surprise fut totale.

En entrant, l’endroit était assez sombre, la lumière tamisée m’empêchait de distinguer l’intérieur. J’étais restée debout devant le comptoir lorsque surgis un homme basané d’une soixantaine d’années, pas très grand mais trapu. Aucun doute, il s’agissait bien de Fabrice, l’ancien compagnon de ma tante Isabelle. Je ne l’avais pas vu depuis bientôt trois ans :
— Fabrice ! Que faites-vous là ? Lui demandais-je.
— Suis-moi ! M’ordonna-t-il en me prenant la main.

Je ne comprenais rien et pourtant je le suivis sans discuter. Il me fit asseoir à sa table et me dit, juste après avoir commandé au serveur, un café pour moi et un scotch pour lui :
— Je vois que tu as bien reçu mon SMS.
Je pris peur, j’avais honte qu’il soit au courant de mon adultère.

— Comment ça, c’est vous Fabrice ? Comment est-ce possible ?

De là, il m’expliqua que son neveu Nicolas, sachant que son oncle habitait la même ville que moi, lui avait dit un jour qu’il aimerait bien retrouver une salope nommée Gwen et lui demanda s’il me connaissait. Il posa sa main sur la mienne en disant :
— Te rappelles-tu quand je te disais que t’étais une petite coquine. Je ne me trompe jamais. Maintenant, tu feras tout ce que je te dirai de faire. Tu m’as compris ?

La trouille s’empara de moi, je me levai mais il me retint en serrant sa main sur la mienne et me fit rassoir. Il enleva son soulier et passa son pied en dessous de ma robe. Je serrai les cuisses et emprisonnait son mollet mes ses orteils remuaient contre mon pubis. Malgré mon appréhension et ma honte, je mouillais ma petite culotte, je sentais le désir monter en moi. Tout recommençait comme il y a six mois avec Nicolas :
— Samedi 14 heures à l’hôtel de la gare, ne sois pas en retard. J’aurai une surprise pour toi.
— Mais Fabrice, vous savez que je vis avec Sébastien.
— Oui bien sûr ! Veux-tu qu’il reçoive ce SMS ?

Pendant les trois jours précédents ce fameux rendez-vous, j’étais mal, je ne faisais plus l’amour à mon homme, j’étais prise entre deux sentiments, la honte qui me rongeait de l’intérieur et l’excitation de passer un après-midi avec l’homme qui m’impressionnait tant dans ma jeunesse. Il était vieux et moche mais je me doutais qu’il devait être encore plus dominant que Nicolas. Je me demandais également qu’elle était la surprise, qu’il me réservait ?

Ce fut tremblotante que j’avais frappé à la porte de la chambre 203. J’avais dit à Sébastien que j’allais chez une tante souffrante et que je rentrerais probablement tard dans la soirée. Fabrice m’avait accueilli et Nicolas vint me faire une bise. Les deux hommes m’avaient délicatement déshabillé, de leurs mains expertes, Ils m’avaient caressé sur tout le corps, de leurs bouches et de leurs langues ils m’avaient embrassée et léchée sur l’ensemble de ma peau que je laissais à leur disposition, j’adorais leurs caresses et leurs baisers, je mouillais sans qu’ils aient encore accédé à mon intimité.

Mes tétons me faisaient mal, tellement ils furent aspirés, sucés, mordillés et triturés. Je trémoussais de plaisir, j’étais dans un autre monde. Je n’avais pu faire autrement que de leur obéir, j’étais leur chose et j’étais venue pour cela. La nuit passée avec Nicolas se répétait et j’étais moins anxieuse. Toutefois j’avais le même sentiment de honte en me retrouvant entièrement nue devant ce septuagénaire. Mais tout ceci augmentait cette sensation de soumission qui m’excitait fortement malgré moi.

Ils me positionnèrent à leur convenance, j’étais assise au pied du lit, les jambes écartées, ils étaient tous les deux nus. Fabrice et Nicolas s’apprêtaient à me donner du plaisir, j’allais connaitre aujourd’hui ce que j’attendais au plus profond de moi et ils étaient bien déterminés à m’offrir leurs deux grosses queues. Nicolas s’agenouilla devant mon sexe et vint poser sa bouche sur mes grandes lèvres que je lui offrais pendant que Fabrice plaçait son engin encore mou dans ma bouche que j’avais ouverte sans qu’il me l’ordonne.

Après quelques aspirations, tours de langue et massages des testicules, Fabrice retrouvait enfin ses 22 cm. J’étais motivée, d’autant plus que Nicolas me faisait du bien. Je sentais sa langue, ses doigts dans mon intimité, ce qui me rendait vulnérable, je mouillais tant qu’il eut des difficultés à boire mon jus entièrement, mes cuisses recevaient le trop plein. Puis ils avaient interverti les rôles avant que Fabrice n’éjacule car il était moins résistant à son âge et voulait se préserver un peu. Nicolas se trouvait désormais au plus profond de ma gorge et son oncle avait pris possession de mon vagin trempé, je venais de jouir pour la première fois de l’après-midi et ça venait que de commencer.

La fellation que je faisais à Nico était à la hauteur de l’événement, il adorait ma bouche. Il jouit rapidement, de longues coulées de sperme se perdaient et disparaissaient à l’intérieur de ma gorge. J’avais même apprécié le goût de ce nectar blanchâtre. Je jouis une deuxième fois en sentant les doigts de Fabrice prenant ma chatte et mon cul en même temps. J’éjaculai aussi de deux gros jets de jouissance dans ses moustaches.

Le temps des préliminaires était fini, nous avons pris un verre frais dans le frigo de la chambre. Rien que de parler de ce qu’ils allaient me faire, la verge de Nicolas reprenait des couleurs, il était en forme aujourd’hui et il était disposé à se donner entièrement à ce jeu sexuel pervers. Il s’allongea sur le lit et après quelques petits attouchements, j’étais parvenu à rendre sa queue droite comme un i, pendant que Fabrice me doigtait dans les deux trous. En tournant le dos à Nico, celui-ci me dit qu’il allait m’enculer. Je vins m’assoir devant lui en prenant sa bite et en la posant directement sur mon anus, dilaté par le doigté de son oncle.

Sur son gland gorgé de sang, je m’enfonçais doucement afin que les vingt centimètres me transpercent le cul. J’avais mal mais l’excitation était plus forte encore. Une fois plantée de son pénis jusqu’à la garde, je ne ressentais plus la douleur, elle se transforma en désir. Je me couchai en arrière sur lui, offrant ainsi ma chatte grande ouverte à Fabrice qui se coucha sur moi pour me pénétrer avec force. Nico en profitait pour me triturer les seins. Leurs aller et retours alternés me firent perdre la tête, je vivais un moment inoubliable, j’en avais tellement rêvé, que je jouis une troisième fois, en criant sous un orgasme fulgurant, pendant que Nico s’était déversé dans mon rectum et Fabrice dans ma petite chatte.

Ils n’avaient pas attendu longtemps, j’étais restée allongée pendant qu’ils reprenaient des forces. Je les entendais parler dans le hall d’entrée mais n’arrivais pas à comprendre leurs propos. Lorsqu’ils étaient revenus, ils avaient interverti les rôles, Oui ! mes deux amants bandaient de nouveau, j’étais face à Nico cette fois, je m’empalais sur sa queue et je faisais coulisser ma chatte sur sa bite, tout en tendant ma croupe à mon deuxième partenaire :
— Encule-là Fabrice ! Défonce-lui le cul ! Entendis-je de la part d’un troisième homme sortant de la salle de bain.

Quelle fut ma surprise en voyant Sébastien nu comme un ver, sa bite en érection dans la main, je ne m’étais jamais sentie si honteuse de ma vie. Fabrice avait pris possession de mon cul, il était énorme, je poussais des cris mais dès qu’il fut entièrement fiché en moi, mes gémissements avaient repris. Sébastien n’avait pas attendu, il se présenta devant mes lèvres que j’ouvris en grand pour l’avaler. Il s’enfonça lui aussi, m’obstruant ainsi mon troisième trou, il me baisait littéralement ma bouche à grands coups de reins puissants. C’en fut trop pour moi, j’hurlais mon plaisir mais on ne pouvait pas m’entendre. Nous avons tous jouis ensemble, cela coulait de partout, tout ce sperme déversé, m’avait rendue, une nouvelle fois, folle de joie et de bonheur.

Après deux éjaculations de Fabrice et trois pour Nicolas en moins d’une heure et demi, les deux hommes ne pouvaient restés. Sébastien leur dit : « merci à la prochaine. » Avant de fermer la porte derrière eux. Lorsqu’il s’était allongé à côté de moi, il me sourit :
— C’est bon Gwen, ton fantasme est réalisé ! Maintenant tu m’appartiens et quand tu voudras me tromper, tu me le demandes. M’avait-il dit d’un ton sévère.
— Oui mon amour ! Je serai ta salope pour la vie.

Chères lectrices et chers lecteurs, cette histoire n’est pas réelle, elle fut entièrement inventée par l’auteur qui, avec mon aide en lui dévoilant mon fantasme, l’a écrite pour mon plus grand bonheur.
Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Gwen, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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